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Ed Nouce
Romancière
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« Le jour tarde à poindre »
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Trente-deux poèmes
sur fond d'amour et de guerre
Livret broché
(ISBN : 978-1495902628
22,9 x 15,2 x 0,3 cm - 40 pages)
ou e-book
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Un mélange de vers "librement rimés", très rythmés, accessibles, qui chantent principalement la passion amoureuse et la guerre, mais aussi la réconciliation... Un style personnel et attachant, qui joue sur les mots, mais toujours au service du sens et de la musicalité.
Dans ces vers composés en 2011 en même temps que L'ennemi qui m'aimait, roman historique qui a pour toile de fond la Seconde guerre mondiale, plusieurs titres aussi sont directement inspirés par ce conflit et cette époque, ainsi "Londres" ou "Nuremberg".
Ed Nouce n’est pas poète, mais romancière. C’est ce qu’elle prétend !
En écrivant L’ennemi qui m’aimait, son premier roman, elle y a néanmoins joint, parfois infiltrés au cœur du récit, parfois en marge, alors dans des notes inutilisées — qu’elle était prête à supprimer —, des vers ardents et musicaux.
Il est vrai qu’ils sont censés être l’œuvre de l’un de ses personnages principaux : Hélène le Vaneau.
Est-ce un masque commode, que notre auteur récuse ?
Elle vous dira que ses personnages sont tous également ses créatures.
Elle ne se cache pas plus derrière Hélène le Vaneau que derrière Manfred Kuhn ou Horace Smoke-Finch. Aucun d’eux n’est une simple émanation de l’écrivain qui joue au démiurge. Créatures de la romancière, libres, elles lui échappent et l’entraînent souvent là où elle ne voulait pas ou ne pouvait pas aller. Dont acte. On lira donc ces trente-deux poèmes comme ceux de la jeune héroïne de L’ennemi qui m’aimait.
Ils chantent d’abord l’amour entre ennemis sur fond de Seconde guerre mondiale. On y trouve aussi un vif sentiment de la nature. Certains lecteurs noteront peut-être les influences combinées (de manière improbable) de Jean Cocteau et de Charles Péguy, mais ces vers sont assurément d’un style très personnel.
"Amour maudit
Pourquoi mon âme tressaille contre toi
Mon pauvre corps alangui, sans voix,
Pourquoi le sort joue-t-il ce tour pendable
De nous unir d’amour indéfendable ?
Tes beaux yeux sombres, tes cheveux de jais
Ton corps souple et fort fous-moi la paix !
Ne sais-tu pas que tout ici
Dans cette alcôve est maudit ?
Il n’y a guère que la guerre
De possible sur cette terre."
***
"Le jour
Bonjour le jour, aube d’or
La vie nous revient de l’aurore
Tu perces la nuit et le ciel rougeoie
Ton soleil éveille à la joie
Noir, jaune, rouge et bleu à la fois
Tu berces la lune qui s’endort là
Bonjour le jour te voilà. "
Nouvelle couverture numérique
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